samedi 29 mars 2014

27 mars – Guadeloupe, Deshaies en passant par Montserrat

Trois heures A.M. le cadran sonne et c’est la mise en route pour Guadeloupe.  Normand prépare le café et Jo fait une dernière vérification sur les éventuels projectiles qui pourraient se promener lors de notre navigation.   Le lunch est prêt et le souper également.  Pour notre petit déjeuner, un délicieux pain aux bananes, gracieuseté de Lise (Vomo).  Étant déjà face au vent, et comme il fait un peu noir, nous décidons de lever la grand voile à notre mouillage.  Mais une fois la grande voile hissé, Panache lui, est déjà prêt à partir et se dandine au bout de la corde de mouillage.  Et arriva ce qui devait arriver, la boule de mouillage passe sous le bateau, derrière la quille.  Et nous voilà bien coincé.  On veut larguer l’amarre nous retenant au mouillage, mais celle-ci est twistée sur elle-même  sur trois tours.   On défait finalement le bout relié à Panache, on défait les tours et ainsi nous sommes libre.  Panache, ainsi libéré, vogue allègrement en direction de la Guadeloupe.  Il est quatre heures du matin.  Nous avons 70 miles à naviguer pour Deshaies.  Les vents annoncés sont de 15 à 20 nœuds, N.E.  Avec une moyenne approchant les cinq nœuds nous devrions arrivés vers dix sept heures.  Avec les vents annoncés, ainsi que sa direction, en partant de Névis,  avec un cap à 160°, c’est presque une droite ligne avec Deshaies, en passant sous le vent de Montserrat.  Après vérification de l’état d’activité du volcan, deux sur cinq, nous optons pour passer sous le vent de l’ile.   Au départ, avec la grande voile et le moteur, nous atteignons vite le sud de l’ile de Névis.   Une fois là, on déroule le génois, on éteint le moteur et on borde les voiles.  Ainsi bordé, nous réalisons vite que nous sommes encore au prêt serré.  Les vents annoncés par la météo non pas été communiqués à ceux que nous avons.  Par ailleurs, la houle a fait également la sourde oreille, car elle n’est pas non plus celle annoncé.  Néanmoins nous faisons avec ce que nous avons, pas questions de faire demi-tour.  Malgré tout, nous faisons une bonne  voile, à une vitesse respectable, mais en même temps nous constatons que notre XTE augmente aussi au fur et à mesure que nous avançons.  On réalise que l’on se fait déporter.  Alors à 1.75 de XTE  et rendu un peu plus haut que la pointe Nord de Montserrat, on  envoie la voile mécanique  afin de nous aider à réduire ce XTE.  Bon an mal an on se retrouve face au volcan.  C’est tout un spectacle.  Seul l’odeur n’est pas transmis sur les photos.

Montserrat, partie nord de l'ile


Un des volcans actifs (2/5 au sud) de Montserrat

Aciivité du volcan


Rendu au sud de Montserrat, beau ciel bleu, et ici l’info météo c’est bien rendu.  Nous réussissons à faire notre cap et la vitesse oscille entre les six et sept nœuds.  Yes….En plus nous voyons la Guadeloupe au loin.  On est content se sera une belle croisière. 
Dix huit heures, on est assis dans le cockpit.  OUF.  Que cette après-midi fut loin d’être une simple petite croisière.  Les grains qui se sont succéder nous on fait réaliser que la voile est avant tout un sport.  Un sport qui quelque fois est idyllique et d’autrefois sportif.   Aujourd’hui nous avons côtoyé le sportif.  Mais nous sommes contents d’avoir eu ses conditions de navigation jour et non de nuit.  Après une bonne nuit de sommeil, nous serons prêts à repartir.


24 mars – Nevis, Tamarind Bay

Après une superbe bonne nuit, les formalités obligent, nous quittons pour Nevis.  Contrairement à hier, c’est quasi une mer d’huile.  Nous faisons les cinq miles à moteur.  C’est bon pour les batteries de toute sorte : moteur, caméra, liseuse, jeux….On en profite.  Une fois les formalités effectuées, c’est l’entretien du bateau.    Dans la baie ce sont de boules de mouillage, et depuis ce matin, il y a peu de vent et les bateaux tournent en rond.  Nous resterons ici en attente de notre fenêtre météo afin de se rendre à Deshaies, en Guadeloupe.  Cela semble se dessiner pour  jeudi le 27.  En attendant  petite visite à terre, marche sur la plage et lecture sont au menu.

Panache IV a maintenant une nouvelle figure de proue.....

Une fou brun sur notre balcon avant








23 mars – St-Kits, Ballast Bay

Malgré une mauvaise nuit de sommeil, nous quittons à huit heures, avec l’objectif Guadeloupe.  Nous larguons les amarres, on hisse la grand voile, on a un peu le vent dans le nez.  On est également à l’abri de l’ile.  Alors on se dit :  Une fois au vent se sera beaucoup mieux et nous pourrons ouvrir le génois et prendre notre cap.  Une fois l’île passée, nous envoyons le génois.  Nous bordons les voiles pour une allure au prêt serré.  Notre cap devrait être à 160 °, nous sommes à 170 °.  La houle est courte et nous tapons dedans une fois sur quatre.  Notre vitesse sur le fond se situe à environ 4,5 nœuds.  Le vent forci un peu et la houle nous ralenti aussi un peu.  Mais le plus inquiétant c’est le cap à 170 ° que nous n'arrivons pas à faire descendre.  À ce rythme nous serons obligés de faire des tacs.  À neuf heures on se dit que cela va être plus long que prévue.  À dix heures trente le constat tombe : nous n’avons pas les vents annoncés et nous ne réussirons pas à faire ce que nous souhaitions.  Ainsi nous décidons de changer de cap et d’entrée à ST-Kits, où nous espérons passer une meilleure nuit.  Le cap ayant changé, nous maintenant à 180 °, nous filons à six, sept nœuds, sur le fond.  Yes, ça va plus vite, Jo est contente.  
Vers une heure nous contournons la pointe nord de St-Kits.  Soudain le vent change  complètement de direction.  Les voiles faseillent et nous avons le vent à vingt nœuds dans le pif.  Pour accompagner le tout, une vague courte qui, une fois rentré dedans, fait chuté note vitesse à trois nœuds.  «C’EST QUOI ÇA?» Dira mon capitaine.   Nous en concluons, qu’ici les effets de terre ont une grande incidence sur la direction et la vitesse des vents.  Nous qui avions cru faire une petite navigation tranquille à moteur, à l’abri de l’île, sommes bien déçus et désappointés.  Mais graduellement la vague diminue et notre vitesse augmente, un peu.  Le vent diminua aussi une fois les montagnes passées.  Cinq heures trente nous jetons l’ancre dans la baie de Ballast Bay.  
Puis Normand monte dans le mât afin de solidifier notre déflecteur radar  qui en navigation, avait perdu une attache.  Après un bon souper et un petit verre de vin, on ne se fait pas prier pour aller au dodo.   L’Ancrage est beau, tranquille, et ne roule pas, pour l’instant.
St Kits, Ballast Bay


À l'Arrière l'ile de St-Kits

22 mars - St-Barth, Anse Colombier

Ce matin nous partons pour l’île Fourchue, en prévision de notre prochaine destination : Deshaies en Guadeloupe.  Nous avions environ quinze mille à faire.  Nous sommes partie vers dix heures, après que les gars aient fait les procédures départ.  On ouvre les voiles et nous voilà parti.  Nous sommes au prêt très serré, et cela obligera à faire quelques tacs afin d’atteindre notre objectif.  
île Fourchue
Un de nos amis, Nénu-Farr, faisant un meilleurs prêt que nous, arrive le premier à l’île Fourchue et nous avise que ça brasse beaucoup.  
Fort de cette information, nous poursuivons notre route jusqu’à l’anse Colombier.  Après avoir jeté l’ancre à deux reprises,   une boule de mouillage se libère et nous décidons de la prendre.  Nous sommes très en avant et cela semble très calme.  Mais une fois la nuit venue, le vent monte et l’amarre grince sur le taquet à chaque fois que le vent forci.  Ce ne fut pas notre meilleure nuit de dodo.

18 mars : St-Martin, Grand Case

Après deux semaines passées dans Simpson Bay, Lagon, nous levons l’ancre pour aller aux mardis Grande Case, toujours à St-Martin.  Cela représente cinq miles.  Donc environ une heure de navigation.  Mais avant, il nous faut sortir du Lagon.  Nous avons bien des points de repaire pour nous guider, mais il y a tellement de bateaux qui se prennent, entre les deux bouées rouge, que cela ajoute un peu de stress au départ.  Le pont ouvre à neuf heures.  On se donne une marge de manœuvre au cas où…. Benoit prend le long run (il a trace de l’an dernier)  nous le short run. (avec les points de Denis de Prana).  Huit heures trente, on est à l’entrée du pont en attente que celui-ci ouvre, et ce sans avoir accroché. Youpi on est heureux.  Le sort n’est pas le même pour un voilier qui suivait Benoit, a pris la route trop sur son tribord et a accroché.  À l’aide de son génois et dinghy, il réussi à se déprendre et à nous rejoindre pour l’ouverture du pont.  Nous serons neuf bateaux à attendre l’ouverture du pont.  Ce n’est pas très large, mais ça passe.


Mon film pont from Normand Beaudoin on Vimeo.

Une fois sortie on hisse la grande voile et ouvre génois et en route vers Grand Case.  Une belle petite navigation.  On jette l’ancre.  On dîne et Jo va nettoyer la roulette du lockmeter (qui donne la vitesse) car il n’a pas fonctionné  durant notre dernière navigation.  Des petits intrus avaient éluent domicile sur la petite roulette, qui ne tournait plus.  Trois petits coup de brosse et voilà qu’il fonctionne à nouveau.  Youpi.   Puis le soir venu nous allons, avec  Marie-Claire et Michel (Jolie Julie) et ses invités (Sylvie & François)  ainsi que Lise et Benoit (Vomo)   au Calmos café prendre un apéro.
Baie de Grand Case vue de notre bateau

Calmos Café vue du bateau































À Grand Case, tous les mardis, la rue principale est fermée à la circulation, et de chaque côté de la rue s’installe des vendeurs donnant l’impression d’un gros marché aux puces.  Puis certains locaux installent des tables à pique-nique dans la rue afin d’offrir à manger à plus de monde possible.  A sept heures quarante cinq, c’est la parade. 


Enfin, cette parade-ci fut plus tôt rudimentaire.  Nous avions déjà assisté à une autre  l’an dernier, qui était beaucoup plus importante, alors celle-ci nous a un peu laissé sur notre appétit.




dimanche 16 mars 2014

11 mars – St-Martin, Simpson Bay Lagoon

Que le monde est petit.  À bord du Westerdam  on découvre que les amis de Vomo, Micheline et Jacques (ex-Toxedo), font également partie de la croisière.   La technologie des communications fera en sorte que nous apprendrons que font également partie du voyage :  Les NaMar (Nancy et Marcel), les Rouma (Chantal et Parick) ainsi que Roxane et Yvon (cousin de Patrick) .  Ces joyeux lurons sachant que nous avons un couple d’amis à bord, se donnent trente minutes pour les trouver sur le bateau.  Vingt cinq minutes plus tard, Jacques parle avec Aline qui luit : C’est toi Jacques je suppose.  Que le monde est petit.   C’est ainsi qu’ils se donnent rendez-vous pour déjeuner ensemble le lendemain matin et rejoindre les Vomo et nous.

13-16 mars St-Martin, Philipsburg

Les émotions retombent et nous préparons notre départ pour le sud.  Nous récupérons notre génois que nous avons fait réparer.  Nous allons visiter une petite boucherie, tout à fait charmante et pour laquelle nous plaçons une commande, que nous récupérerons lundi avant notre départ.  

Puis samedi nous faisons le plein de gaz, diesel, eau.  L’eau, du coté français, ayant des problèmes nous allons du coté Hollandais.   

Dimanche matin nous allons faire de l’internet et dînons avec un couple qui est partie depuis onze ans et a fait le tour du monde :  Safina, Jean-Pierre et Colette.  Quel bel rencontre et que de belles histoires.

12 mars St-Martin, Philipsburg

La gang arrive ce matin.  Nous sommes tous très fébrile et avons hâte de les voir.  Une chance Marcel avait sa radio VHF.  Nous ayant appelé au bateau le matin même, ont sait qu’ils arrivent.  Une fois arrivé, tout le groupe se rencontre à la guérite.  L’émotion est vive et chacun est très heureux de se voir.

Marcel (NaMar), Aline, Nancy,Micheline, Patrick, Jacques et Jean-Guy








Jean-Guy, Chantal & Patrick (Rouma)
























De notre coté nous partons avec Aline & Jean-Guy pour faire le tour de l’île.

Baie de Grand Case

Aline et Jean-Guy dans la Baie de Grand Case

Rue principale à Grand case

Baie de Marigot

Un ighan sur la branche
Pointe de l'ile, Tintamare, à l'arrière St-Barth

On retrouvera le reste de la gang à l’heure du dîner.




Le retour doit se faire pour deux heures trente, au bateau.  La journée passe trop vite.  Et c’est à regret que nous laissons partir Aline et Jean-Guy ainsi que le reste de la gang.   De retour au bateau, nous constatons que ce fut très court, mais intense.

10 mars St-Martin, Philipsburg



Nos amis, Aline & Jean-Guy, arrivant le 12 mars à Philipsburg, nous allons vérifier les tours disponibles pour les faire visiter l’île de St-Martin/St-Marteen.  Lise et Normand vont s’informer, pendant que Benoit et Johanne vont magasiner les caméras.  Nous avons l’air de deux enfants dans un magasin de jouets.  On s’informe sur les différents modèles, qualité, et prix.  Aucun achat s’en suit, nous devons continue nos devoirs avant de prendre une décision finale.

9 mars – St-Martin, Moha Beach

Par ce beau dimanche matin, nous partons visiter la plage de Maho Beach avec les Vomo.  La particularité de cette plage,  hormis son beau sable blanc, à son extrémité, c’est le début de la piste d’atterrissage de l’aéroport  Juliana.  Une image vaut milles mots…je vous laisse découvrir le spectacle qui s’est déroulé sous nos yeux.  Un seul mot pour le décrire (à mes yeux) grandiose.









avion a Saint-Martin from Normand Beaudoin on Vimeo.

8 mars – St-Martin, Simpson Bay Lagoon

Bien assis dans notre cockpit  de bateau, à siroter notre petit verre de vin, soudain nous sommes appelés à la radio VHF.  Une expérience qui sort de l’ordinaire est proposé à Normand.  Celui-ci, afin de rendre service, accepte le défi.  Cela consiste à conduire un bateau moteur (2 x 250 force) de 8 :30 à 4 :30 hres, afin d’amener des clients en vacance,  faire de l’apnée  autour de l’île.  Durant la journée, Normand leur servira bières, rhum punch, le tout en anglais.     
Pendant ce temps Jo, va faire des approvisionnements avec Lise chez Cost U Less.    À la fin de la journée, Normand revient quelque peu fatigué.  À son dire, ce fut une belle expérience, mais sans plus.

mardi 4 mars 2014

4 mars - St-Martin, Lagon

Le vent faible dans la baie, c'est le bon moment pour monter en tête de mât.  Les anémomètres vont des leurs, et devons aller les caresser un peu.
Françoise de Coulicou, le sien ne donne plus de vitesse et le nôtre a besoin d'être solidifié.


Non, non Françoise, ne me dis pas que tu n'es pas accro au ton I-Phone, je ne te croit pas...


Alors Normand est à son tour monté  dans le mât.  Il en profitera pour changer les embouts de barre de flèches qui se sont usés et doivent être changé afin de ne pas briser notre génois.





dimanche 2 mars 2014

1er Mars – St-Martin, Simpson Bay

Au petit matin, ayant passé une mauvaise nuit, nous quittons plus tôt que prévue, et on se rend à St-Martin dans le lagon, ou nous espérons un peu plus de calme afin de refaire le plein d’énergie.  Nous passons par le coté Hollandais, deux ponts à faire ouvrir, mais une fois fait nous sommes dans le lagon.  Nous sommes à peine entrés, que déjà les amis de Nénu-Farr nous souhaitent la bienvenue, ainsi que Gulliver.   Une fois l’ancre jeté, Claude viens nous voir et nous invite pour un apéro sur Gulliver.  Ainsi, c’est avec plaisir que nous retrouvons des amis perdus de vue depuis novembre.  Nous retrouvons avec un immense plaisir Claude et Marie de Gulliver, Marie-Claire et Michel de Jolie Julie.  Nous irons voir les amis de La Jeannoise, qui sont également dans la baie.

28 février – St-Barths, Île Fourchus

Ce matin, Jo va faire de l’apnée avec Lise et Benoit.  C’est joli, sans plus.  De retour au bateau, nous décidons de quitter pour l’île Fourchus.  De là nous espérons y rester quelque jours afin de se reposer un peu.  Nous quittons puis une heure plus tard nous prenons une boule de mouillage.  Pour l’instant c’est très rouleur.  Nous espérons que cela se calmera un peu.   Mais cela ne se clame pas, et Jo commence à avoir mal au cœur.  Afin de ne pas être malade, elle prend une petite Bonine.   Je crois que la fatigue y est pour beaucoup.  Coulicou nous invite pour un petit apéro.  Nous y allons avec les Vomo.  Ce fut très agréable.  De retour au bateau, cela roule encore, mais c’est moins pire.  

27 février – St-Baths, Anse Colombier

Ce matin, formalité d’entrée oblige, nous devons se rendre à Gustavia.  C’Est ainsi qu’à pied, nous irons à Gustavia avec Lise et Benoit (Vomo), Françoise et Ian (Coulicou) et nous même.  C’est une marche, un peu plus longue que prévue, mais qui nous permet d’avoir des points de vue fabuleux.

Baie la Petite Anse

Françoise, Ian et Normand


Sur le sentier, en route vers Gustavis
Benoit, Lise, Ian, Françoise et Normand
Anse des Flamands

Anse des Flamands
 
Normand dans le sentier
L’aéroport de St-Baths, de par son emplacement, offre un spectacle  en soit, tout à fait hors de l’ordinaire.  La fin de la piste d’atterrissage donne sur la baie de l’anse St-Jean.  Mais en haut, il y a un rond point, et de là, l’amorce d’atterrissage se continuant, fait en sorte que les avions nous passent juste au dessus de la tête.  Assez impressionnant.


Symbole de ''l'âme de St Barth''


L'arawak,

Situé au centre du rond point, ce guerrier armé d'une lance dans la main droite, protège son rocher.  Avec le lambi, il fait entendre le cri de la nature.  À ses pieds, un pélican, symbole de l'Ile, évoque le milieu de l'air et la survie par la pêche.  L'Iguane symbolise la terre ainsi que la sagesse et la patience dont nous avons tous besoin.  Tous trois se tiennent debout sur un simple rocher, qui vue du ciel, a la forme de St-Barthélemy.












En route, un écriteau qui sort un peu de l'ordinaire...



















Rendu à Gustavia, les gars vont faire les formalités.  Mais quel Port....
Puis on se dirige vers une crêperie.






Le fort Gustaf, le plus important de Gustavia pendant la période suédoise.
Après le lunch, nous  partons explorer la ville.  De bien belles découvertes.









L'ancre, lourde de 10 tonnes de fer et est de fabrication anglaise, car les mots  ''Liverpool...Wood...London..
y sont gravés.  Elle fut retrouvée en 1981, lorsqu'un remorqueur s'accrocha à elle par hasard.  On ne sait si elle a été traînée depuis St-Thomas, Charlotte Amélie, cueillie sur le trajet par un porte-containers ou si, comme le prétendent certaines recherches, elle proviendrait d'un bateau de guerre américain.













Pour le retour, nous prenons un taxi qui nous amène à petit sentier,  qui lui nous même à la plage ou se situe tout nos bateaux.

Anse Colombier, ou Panache IV est au mouillage